L'Evangile de ce dimanche dernier (Marc, 1, 29-39) évoque la guérison par Jésus à CAPHARNAUM, de la belle-mère de Simon-Pierre, qui avait la fièvre et demeurait alitée.
Cet acte fait suite à la guérison le matin du même jour d'un malade dont la meilleure santé permit, en étant le onzième homme disponible, de "faire synagogue", et de pouvoir célébrer Dieu.
La guérison de la belle-mère de Simon-Pierre, c'est la guérison de la matrone, de la maîtresse de maison, celle qui est la lumière du foyer (1), dont le relèvement permet de refaire fonctionner la maisonnée.
La belle-mère, signe de Dieu!
(1) Jean-Pierre JAMMET, dans son homélie à CHAMBON -église où nous étions ... onze hommes au milieu du double de femmes, au moins-, a rappelé ces femmes bibliques, lumières du foyer: Sarah, la femme d'Abraham, et Rebecca, la première à l'occasion de sa mort, la seconde à l'occasion de son mariage.
Tout cela n'a bien sûr rien à voir avec la parité!
Sur Facebook, où cet article est publié, d'aucuns voient dans cette chronique supra une sorte de justification du gynécée mis en place ... divinement (?) autour de Jean-Pierre ABELIN; or j'écrivais mon article sans aucun parallélisme politique local allusif; mais, à la réflexion, pour faire écho au commentateur, auquel je demande de rester attaché à la seule référence de la belle-mère (statut juridique bien particulier), la belle-mère de Jean-Pierre ABELIN était reconnue par tous, et déjà au Palais où elle était avocate, comme une ... sacrée bonne femme.