Méditation dominicale

Publié le par cassetoi-vlp

N'importe quel homme de Dieu vous le dira : une vie spirituelle équilibrée doit comprendre une journée hebdomadaire consacrée à la méditation sur d'éternelles interrogations comme « D'où viens-je ? », « Où cours-je ? » ou « Que m'est-il permis d'espérer ? ».

En ce premier dimanche de l'Avent, nous nous pencherons donc sur la parole du prophète Frédéric (Lordon), qui pose lui, la question : « Jusqu'à quand ? », peut-être inspiré en cela parFrédéric Lordon Cicéron s'adressant au candidat dictateur Catilina qui dans sa soif de pouvoir, s'essuyait tranquillement les pieds sur les institutions de son pays.

Dans cette méditation, Frédéric se livre à un commentaire de la genèse, et plus précisément des épisodes ayant conduit l'ensemble de notre continent à migrer en masse vers le bord du précipice.

Ne serait-ce que par son ton, à la fois précis, soutenu et volontiers ironique, cette adresse au peuple serait propre à placer nos esprits dans les meilleures dispositions. Mais la forme n'est pas tout, et le contenu ravira, j'en suis sûr, vos âmes inquiètes de la marche du monde.

Cette parole du prophète est communément datée de novembre 2008, soit quelques mois à peine après la première apocalypse, point à garder présent à l'esprit afin de mieux apprécier la puissance de la double vue de ce grand mystique.

 

 

L'audition du prêche se fait par simple activation du bouton portant la flèche à droite conventionnellement utilisée.

 

 

La scène commence par les interpellations anxieuses des fidèles. Aussi, ceux et celles d'entre vous qui préfèrent se concentrer sur la parole de Frédéric pourront avancer directement au début de son intervention, soit 13 minutes et quelques.

 

L'ensemble de cette vision ne pouvait, compte tenu de sa richesse être reçu par les fidèles le même jour. Aussi pourrez-vous trouver la suite ici.

 

Une fois pénétré-e-s de cette parole, je propose à votre méditation d'envisager le sort à réserver aux faux prophètes qui, aujourd'hui encore, n'ont pas su voir ce que Frédéric nous décrivait il y a trois ans.

 

Allez en paix.

 

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